Aujourd’hui, grâce à l’étude des squelettes et des fossiles, nous avons pu reconstituer l’apparence extérieure de ces énormes bêtes. Sans ces moyens d’étude, comment le sculpteur antique a-t-il pu sculpter l’image qui suit ?



Il a montré son étonnante trouvaille aux scientifiques du Primorié (dont la capitale est Vladivostok). Ils ont conclu, après une analyse scrupuleuse, que l’objet datait d’il y a 300 millions d’années et qu’il avait été fabriqué par un être humain. Ils n’ont cependant pas pu déterminer qui l’avait fabriqué exactement. »(source)


Dans les articles suivants, le lecteur trouvera l’étude d’un certain nombre de ces artefacts hors d’âge, pour la plupart récusés par les scientifiques oxydantaux.On comprend que toutes ces trouvailles surprenantes laissent les scientifiques sans voix, car elles sapent tous les fondements possibles de la conception de la science moderne.




Il est difficile d’imaginer que la nature ait conçu un objet avec six crans parfaits et des intervalles aussi réguliers. De plus, l’espace entre chaque cran est bien large par rapport aux crans eux-mêmes. Il est possible que cette crémaillère fit partie d’un mécanisme complexe.On trouve ce genre de pièces dans des microscopes modernes. Comment une pièce si complexe a-t-elle pu être conçue par un être humain il y a plusieurs millions d’années ? »(source)
L’article ajoute ceci : « Lorsque l’information sur cette découverte s’est répandue, certains ont émis l’hypothèse que la crémaillère appartenait aux OVNIs.
Singularités archéologiques

Décidément, l’étude de notre passé est en bien mauvaise posture. Les spécialistes universitaires se sont fait leur scénario, et tout ce qui ne cadre pas avec, ils le rangent dans une boîte marquée « singularité ».Le tour est joué, la singularité finira au troisième sous-sol dans sa boîte oubliée sous la poussière.




Musique néolithique ?


Embarassantes singularités


Aux yeux de la science, comme je l’ai dit, ces artefacts constituent des singularités : nul ne s’attend à les voir entrer dans une quelconque théorie. Cela supposerait une distorsion des concepts ordinaires qui n’est pas concevable, point final.En général, les chercheurs « sérieux » s’arrangent pour faire disparaître d’aussi embarassantes singularités. Ces chercheurs-là sont bien notés, jouissent d’un avancement rapide et, devenus caciques à leur tour, ils continuent à faire régner l’ordre de l’ignorance sur le passé humain.


Mécanique préhistorique

Aluminium néolithique

L’industrie du Jurassique



Hommes et dinosaures
Artefact, en latin, signifie artificiel. Le mot désigne des objets dont l’origine n’est pas naturelle. Si l’artefact est extrêmement ancien, on reste perplexe. S’il a 200 millions d’années, on suppose que ce n’est pas une oeuvre humaine.A moins que l’Homo sapiens ait connu les dinosaures ? Y avait-il des Homo jurassicus à l’époque ? La science dit non. Mais les pierres gravées d’Ica, au Pérou, montrent des hommes apprivoisant de nombreux animaux disparus, y compris des dinosaures. Des statuettes andines et des bas-reliefs olmèques présentent les mêmes scènes, des hommes en compagnie de dinosaures ou autres animaux gigantesques.
Empreintes fossiles

La découverte de cette empreinte fossile datée de 290 millions d’années a été faite au Nouveau Mexique par le paléontologiste Jerry McDonald en 1987. A proximité de cette mystérieuse empreinte se trouvaient d’autres empreintes fossiles, oiseaux, petits animaux.Voilà une empreinte qui a laissé une marque durable dans l’esprit de son découvreur : pas plus qu’un autre paléontologue, McDonald est incapable d’expliquer la présence d’une empreinte d’homme moderne dans une couche géologique du Permien, qui remonte selon les spécialistes de 248 à 290 millions d’années, une période où ni l’homme, ni les oiseaux, ni même les dinosaures n’existaient encore.
Bien sûr, j’expose ici le credo de la science moderne, dans la ligne de la pensée dominante. Qui n’est pas la mienne…

En août 1870, dans l’Illinois, J.W. Moffit trouva une pièce de monnaie à 30 m de profondeur. Age estimé : cent cinquante mille ans.

Une vis paléolithique
Une gangue d’argile durcie, de coquillages fossiles autour d’une vis avec une rondelle. A l’intérieur, un cylindre en céramique, dans un manchon hexagonal en bois pétrifié, avec des fragments de cuivre. Cet artefact aurait entre 250.000 et 500.000 ans, avant l’apparition de l’Homo sapiens sapiens.Ce trésor archéologique inestimable fut vendu en 1969 pour 25.000 dollars. Bon débarras pour la science, irritée par de telles singularité, mais crime contre la connaissance.
Nous avons tous droit à la vérité. On a retrouvé depuis peu des traces de vie industrielle, des alliages métalliques extrêmement anciens, au hasard du travail dans les mines.
Ces découvertes n’ayant pas été effectuées par des archéologues diplômés, elles ont été archivées et leurs dossiers classés sans suite. Vive l’archéologie dominante. Mais la question persiste : qui était donc sur terre, en si grand nombre, il y a 300 millions d’années ? Ma réponse n’est pas compliquée, c’est l’homme. Libre à vous d’en imaginer une autre. De mon côté, je vais tenter de le démontrer dans les pages qui viennent.
Le stégosaure d’Angkor

Un marteau de 400 millions d’années



Pour être parfaitement honnête, on doit y ajouter ceci : la pétrification peut être beaucoup plus rapide qu’on le croit d’habitude. A Trôo, près de Montoire-sur-le-Loir, se trouve une grotte pétrifiante. On y dépose des clous, ou d’autres objets de bois ou de métal, et par les vertus d’une température adéquate et d’une atmosphère humide, saturée de vapeurs alcalines ou calcaires, les objets sont « transformés en pierre » en l’espace de quelques mois. Mais ces conditions ne s’appliquent pas à Kingoodie.


Le problème était que le feldspath renfermant la vis avait, d’après les estimations scientifiques, au moins vingt millions d’années de plus que l’homme ; cette pièce dérangeante fut donc expédiée à une académie de San Francisco et tranquillement oubliée » (source)

La chose était impossible sans retirer assez d’ambre pour atteindre le circuit. Ce qui a été refusé. L’objet a été étiqueté, rangé dans une boîte où il doit être encore. Je l’ai vu de mes yeux il y a plus de 40 ans !(source)

La science s’en fout

L’âge de l’Homme



L’extrême ancienneté de l’homme, hypothèse fondée en vérité, est un énorme pavé dans la mare des paléo-anthropologues.Déjà, bravant Darwin et sa théorie de l’évolution, certains francs-tireurs pensent que les hominidés sont postérieurs à l’homme. Nous avons en tout cas une origine beaucoup plus lointaine que dans leur version officielle, celle de Wikipédia et des vieilles chouettes sur leurs perchoirs universitaires.

En dépit du culte de Darwin, de nombreux fossiles d’Homo sapiens ont été trouvés dans des couches géologiques datées de plusieurs centaines de milliers d’années. Ces datations ne cadrent pas avec la chronologie admise : l’âge de ces fossiles dénonce le dogme officiel.Bons chiens fidèles néo-darwiniens, les mandarins universitaires se sont empressés d’égarer ces fossiles tabous, de les céder à des collectionneurs ou de les enfouir dans les « enfers » des musées. David Childress cite des fossiles d’homme moderne vieilles de 300.000 ans, 500.000 ans, et même un million d’années.

En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet, dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d’un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d’années ! »(source)

Le fossile montre l’empreinte d’une semelle de chaussure moderne. On voit distinctement la marque du talon. Ces traces sont toujours visibles sur le site de Paluxy River, Glen Rose, Texas, USA. Que conclure ?Les anciens voyaient le temps cyclique et l’histoire répètive. Il y a 200 millions d’années, des êtres humains portaient des chaussures comme les nôtres ? Ou bien les cordonniers aliens fabriquent les mêmes godasses que nous ?
En tout cas, de tels faits méritent un peu d’attention. En 1988, L’Erreur de Darwin dresse le catalogue de découvertes bluffantes. Face à de telles évidences, face à la myopie des profs et des étudiants, face à la mauvaise foi des mandarins, un vertige nous saisit.

Homo sapiens sapiens

Si l’on en croit les historiens, la mémoire humaine ne dépasserait pas 3000 ans. Avant, pour l’Histoire, c’est le pot-au-noir. Le mur de l ‘ignorance. Récemment, grâce à l’ADN, l’homme peut savoir qui il est. Et d’où il vient. Diktat de la science, assourdissant. Sans élever la voix, les philosophies, les mythologies, les religions donnent d’autres réponses. Comme Tintin avec les parchemins de la Licorne tentons de les superposer toutes, afin que le message secret apparaisse par transparence.

Des primates bipèdes font leur apparition il y a plus de 3 millions d’années. Tout d’abord, l’Homo habilis, notre plus vieil ancêtre identifié avec 3 millions d’années, est situé dans le berceau africain. Il est suivi de l’Homo erectus qui a émigré vers l’Asie il y a deux millions d’années…



Voilà le discours officiel sur lequel s’accordent une majorité de scientifiques depuis un bon siècle. Pourtant, ce ne sont pas les exceptions qui manquent : ça et là, des fossiles humains beaucoup plus anciensne cadrent pas avec la théorie. Les scientifiques n’en ont cure.Pour eux, rien ne peut remettre en cause la validité de la théorie dominante. Ces exceptions ont un nom scientifique : des singularités. Il y en a dans toutes les disciplines, et elles n’empêchent personne de dormir.
L’homme descend du songe.Antoine Blondin

Et puis le dogme est devenu diktat.





L’homme éternel


L’écriture Rongo Rongo gravée sur pierre en l’île de Pâques n’a toujours pas été déchiffrée. Ces glyphes ont été formellement identifiés comme étant une langue, aucun doute là-dessus.Les Pascuans actuels ne savent rien à ce sujet, répétant qu’il s’agit de pierres très anciennes, qui étaient déjà sur l’île quand leurs ancêtres y sont arrivés. Tout comme les mohaïs, les statues géantes.
Ce n’est pas une image, bien que des images anciennes existent qui le montrent. De nombreuses preuves sont là, que les scientifiques négligent, enfouissent ou contestent. Mais avec l’affaire des semelles fossilisées, on atteint des sommets ! On est encore une fois sidéré de constater à quel point l’histoire se répète. Voici l’affaire.La photo ci-contre a été prise sur le site de la Paluxy River près de Glen Rose, Texas, USA. On peut y admirer des empreintes fossiles datant de 200 millions d’années.
Mais comme on peut le constater, il s’agit d’empreintes de chaussures modernes, on distingue l’empreinte plus profonde du talon.

On y trouve des crânes de géants et de nains, des squelettes d’hominidés effarants, des clous et des vis vieux de centaines de milliers ou de millions d’années, des nano-technologies extraterrestres ou pas, des engins volants dans la préhistoire, lisez-le plutôt. (source)





Il n’y a pas de différence de nature entre l’humain et le divin. Juste une différence de degré.Lao Surlam


La nuit des temps


Le crâne de Wyman


Technologie des dinosaures
Les géants



Des gènes aliens






Comme la différence entre l’homme et le chimpanzé joue sur 300 gènes environ, ces 223-ci constituent un énorme écart. Comment l’homme a-t-il acquis un tel bouquet de gènes pour le moins énigmatiques ?




Les résultats obtenus et vérifiés par le mathématicien israélien Eliyahu Rips, sont époustouflants. Qu’ils soient mal interprétés est une chose possible, mais les codes les révèlent réellement. Je les résumerai à l’essentiel:

– B – L’ADN de la vie sur Terre est venu dans un » véhicule « . Une grille cite même cette phrase: » Une copie de tout a été apportée « .
– C – Plusieurs grilles reproduites laissent apparaître les mots suivants, dont certains s’entrecroisent:« véhicule d’acier » et « forcé d’atterrir », « l’Extraterrestre est un homme » et « Seigneur du code », « Je placerai le gène du langage » et « Je rendrai intelligent », etc.



Il est fort possible que ça prenne des centaines de millions d’années. Et alors ? Rien ne s’y oppose… Scientifiques ou rêveurs, qui sommes-nous pour décider que les choses ne se sont pas passées ainsi ?A présent, les dieux du début ne sont plus qu’un souvenir dans les prières des nouveaux dieux, que d’ailleurs nous avons presque oubliés.
merci
Très intéressent après il faut douté de tout mais comme l'article nous montre il faut surtout douté des idées reçu que nous impose notre science (principalement occidental). Gardon notre esprit ouvert et notre critique aiguisé!
il est certain que la communaute scientifique nous ment,ne voulant surtout pas remettre en question ce qui nous a ete raconte depuis tout petit. l histoire de l humanite serait a remettre en question et sa c est pas bon pour eux!
Il n’y a pas que les »scientifiques » qui nous mentent, nous sommes dans une civilisation de dissimulation et de mensonge , politiques, économistes, historiens, archéologues, sociologues, médecine, agronomes, astronomes, cosmologie, NASA, cern, énergie, eau, air, pollution, climat et météo, enseignement, géographie ……………………….
Demandons nous ce qui est vrai.
Les manuscrits de La Mer Morte, toujours pas traduit & publier depuis leur découverte en 1947 ?? 70 années et ?? Que dalle ??